Nous arrivons à la station de taxis, mais je n’en vois aucun.
Les trois marins s’avançaient sur la route ; l’un chantait et les deux autres reprenaient en chœur le refrain.
On n’entendait que le bruit de la pluie sur les feuilles.
On dit qu’il n’y a personne dans le jardin.
Tous, sans exception, sont venus.